500 fans | Vote

Concours n°6

Vous l'attendiez, le voici, notre nouveau concours!

 


Avis aux écrivains du quartier!

Ce nouveau concours a pour but de se mettre à la place d'un de nos personnages favoris de la série et d'écrire une lettre, un poème ou une déclaration d'amour ou d'amitié (expression de sentiments positifs) à un personnage existant dans la série ou imaginaire, tout en respectant l'esprit familial de la série (votre texte devra être lisible par toutes catégories de public).

 

Quelques règles à respecter:

 


Dates à retenir:

Vous avez jusqu'au 14 février minuit pour me faire parvenir vos compositions. 

Les votes débuteront à partir du samedi 16 février et dureront en fonction du nombre de participants.

Règles: 

- minimum 100 mots, maximum 750

- tous publics.

- possibilité de faire une mise en page spéciale (image, fond, écriture) mais qui ne rentrera pas en compte dans le vote cependant. Envoyez en format Word (.doc) ou écrit dans l'email, et pour ceux qui font une création de fond, format JPEG.

- Vous vous mettrez à la place d'un personnage de la série, et votre destinataire peu exister dans la série ou être de votre invention.

- Toute participation envoyée après le 14 février minuit ne sera pas prise en compte, aucune exception.

- Vous pouvez envoyer 2 participations maximum par personne.

- Pas de spoilers sur la saison 5 (car non diffusée en France pour le moment).

 

Contacts:


Les participations seront à envoyer à l'adresse email suivante: [email protected]

merci de m'avertir ici par mp lorsque vos participations sont envoyées ( annechou )

Je reste à votre disposition pour toutes questions ou renseignements via la messagerie privée ici ou dans le forum du quartier ICI

 

 

A vos plumes!

 


annechou,

responsable des jeux et concours Merlin.

 

Ecrit par annechou 

Participants

Lettre 1 : FINALISTE >>> romane0018

 (mise en page à ne pas prendre en compte pour le vote)

texte agrandi

 

Siégeant sur mon trône, je t’aperçus

 

Au delà de mes chevaliers

 

Au delà de tous mes sujets

 

Mon cœur ne battait plus.

 

 

 

Même aux cotés de ma reine,

 

Et le poids de la couronne sur ma tête;

 

Mes yeux ne pouvaient se détacher de ma sirène,

 

Ma vie était à la fête.

 

 

 

Ses beaux yeux bleus flamboyés

 

Sa chevelure Brune émerveillée

 

Je suis devenu envoûtée par sa beauté

 

Je lui suis devenu totalement dévoué

 

 

 

Était ce un seulement mirage?

 

Était ce le jeu d'un mage?

 

Ou bien peut être, était elle, ma destinée

 

J'allais devoir lentement l'amadoué

 

Lettre 2 : FINALISTE >>> abeilledic

 

Cher ami,

 

 

 

Comme cela est étrange. Utiliser ce mot ami, alors que je ne suis plus vraiment sûre que ce soit de l'amitié que j'éprouve pour toi. Je ne sais comment j'en suis venue à te voir sous un autre angle que celui de l'amitié.

 

 

 

En réalité, le seul savoir dont je dispose est la certitude que tu es quelqu'un de bien, qui que tu puisses être, car même ça je ne suis plus sûre de savoir.

 

 

 

Pendant longtemps, j'ai cru que tu étais ce serviteur maladroit secrètement amoureux de ma servante personnelle, ma meilleure amie. Tu étais un garçon gentil et charmant, mais pour le moins étrange dans ses réactions.

 

 

 

J'ai toujours pensé que c'était du à une timidité pleine de modestie … mais à présent je ne sais plus. Au fil des mois, j'ai pu me rendre compte que ce n'était pas par amour que tu avais sauvé Gwen, qu'en réalité tu agissais comme ça envers tous ceux que tu considérais être tes amis et même avec quiconque semblait mériter ton aide.

 

 

 

Je ne compte plus tes actes de bravoures, tes généreux silences, ton altruisme et ta bonté. Comment fais-tu pour accepter les remarques stupides et acerbes que te fait ce âne à tout bout de champ ? Il ne se rend pas compte du nombre de service que tu lui as rendu, mais pour moi qui t'observe si souvent … c'est une évidence. Tout comme la tristesse que tu caches derrière ton masque de jovialité.

 

 

 

À présent, je me contente la plupart du temps de rester éloignée pour t'observer, mes diverses interventions ayant la plupart du temps tourné au vinaigre. Je n'arrive quasiment plus à supporter l'attitude d'Uther et je ne comprends même pas pourquoi tu prends la peine de l'aider ou de le protéger.

 

 

 

Aujourd'hui pourtant, j'ai une envie irrépressible d'aller vers toi. Je ne sais pourquoi, ta tristesse semble transparaître davantage comme si ton masque s'était fissuré. J'ai même surpris Arthur en train de te réconforter. À sa façon bien sûr, maladroite et lourde, mais c'était touchant de sa part.

 

 

 

Et voilà que je t'écris une lettre que je jetterais probablement au feu. Suis-je folle d'envisager éprouver un sentiment pareil pour quelqu'un qui ne pourra jamais me le rendre, du seul fait de nos conditions sociales si différentes ? Sûrement, mais je n'ai jamais cru à la différence de classe, j'ai toujours trouvé que les trois quart des lois imposées à Camelot manquaient de bon sens. Ma meilleure amie est la fille du forgeron et … tu le sais je suis une sorcière. Il n'y a pas pire rebut dans le royaume, selon les critères de ce roi et de ses règles absurdes.

 

 

 

Pourtant toi, tu le sais, et tu ne m'as pas rejetée, ni trahie. Pourtant, j'ai construit un mur invisible entre toi et moi et même entre moi et Guenièvre qui pourtant ne sait rien. Au début, je me sentais chamboulée et j'ai cru que c'était la raison pour laquelle je préférais ne plus trop te voir. Et puis petit à petit, je me suis rendue compte que j'observais tes faits et gestes à la dérobée, finissant même par en rougir.

 

 

 

En réalité, je crois qu'en m'aidant à comprendre ce que j'étais et en m'acceptant ainsi … nous sommes devenus si intimes que cela m'a effrayée. Et maintenant, je voudrais tellement être aussi proche que je l'étais à l'époque. Pour pouvoir t'aider et aussi pouvoir te dire ce que j'éprouve.

 

 

 

Pourtant ce n'est pas possible, je le sais. Cela te mettrait dans une position épouvantable. Je crois que je sais qu'il n'est pas question de te donner cette lettre. Pourtant je ne pourrais pas me résoudre à la brûler. Je vais la mettre dans ma boîte à secret. Là où elle est cachée, il n'y a aucune chance qu'elle soit trouvée.

 

 

 

C'est d'une certaine manière une moyen de préserver cet amour naissant que j'étouffe dans l'oeuf. Je suis condamnée à rester seule étant donné ma condition, mais j'aurais au moins le souvenir d'avoir aimé.

 

 

 

Morgane

 

 

Lettre 3: >>> choup37

 

 

Ma chère et tendre Guenièvre,
        C'est aujourd'hui la St-Valentin, la fête des amoureux transis comme dit Merlin ! En ce beau jour, il est de coutume d'écrire une lettre à l'aimée de son cœur, aussi me voici devant ma feuille de parchemin, en train de tenter de ne pas trop être ridicule.. Comment exprimer ce que je ressens pour toi avec des mots ? Je suis plus doué pour me battre que pour parler, tu es bien placée pour le savoir.. Tu es celle qui a réussi à ouvrir mon cœur, celle qui y a fait rentrer l'espoir et l'amour ! Je t'aime, je t'aime comme un fou depuis que je me suis caché chez toi pour ce tournoi et que tu m'as dit mes quatre vérités! Excepté Morgane, personne n'avait encore osé me parler ainsi. Enfin, si Merlin mais c'est trop récent pour compter. Et puis c'est différent : tu me donnes envie de m'améliorer, de corriger mes défauts, comme ma saleté d'orgueil ou mon incapacité chronique à avoir confiance en moi. Tu m'encourages sans cesse, d'un sourire, d'un regard, parfois même de quelques mots toujours justes. Tu es l'amour et la lumière, la tendresse et la joie personnifiées !
        Je n'avais encore ressenti cela pour personne. Des femmes, pourtant, j'en ai connu, surtout des princesses à qui on voulait me marier. Mais aucune ne m'a jamais donné envie de la revoir plus d'une ou deux fois, alors que toi, toi je rêve de te rencontrer chaque jour, au gré d'un couloir, à la sortie d'un énième conseil barbant ou au retour d'un entraînement épuisant. Un simple échange de regards me comble, et je me sens heureux pour tout le reste de la journée ! J'ai le sentiment que des ailes me poussent et que je vais m'envoler ! La joie remplit tout mon être, une impression de plénitude et de bien-être m'envahit.. Ce doit être ce qu'on appelle la félicité !
        Cela fait aujourd'hui un an que nous sommes mariés et je t'aime chaque jour davantage. Il nous a fallu tant lutter pour arriver à ce point, combattre tant d'obstacles, de préjugés, d'ennemis plus déterminés les uns que les autres. Plusieurs fois, j'ai pensé que notre amour n'était qu'un rêve et une illusion, et que nous étions insensés de nous entêter... Et pourtant... pourtant à présent nous sommes mari et femme, et rien ne peut plus venir nous séparer ! Je ne sais pas ce que je serais devenu sans toi, mais ce qui est certain c'est que je n'aurai pas été moi-même. Il m'aurait manqué quelque chose.. mon âme sœur. Toi. Ma vie. Mon amour.
                                                                Je t'aime.

                                                                                        Arthur

 

Lettre 4: >>> Gargouille

 

introduction: (à ne pas prendre en compte pour le vote)

La petite fille, neuf ans et 363 jours, boudait, regard noir et bras croisé sur la poitrine. Son père venait de la déposer auprès d’Uther Pendragon, qui s’était empressé de poser une main possessive et paternaliste sur l’épaule de l’enfant, assurant à son ami qu’il veillerait sur sa fille. Tous les mots d’excuses et les gestes tendres de Gorlois furent vains pour dérider Morgana, qui ne décolérait pas que son père soit absent pour son dixième anniversaire.

 

En désespoir de cause, Gorlois se résigna à partir sans parvenir à embrasser sa fille, lui tendant une boîte, qu’elle prit de mauvaise grâce, l’enjoignant à l’ouvrir dans deux jours. Ce que Morgane fit, seule dans sa chambre. Alors les objets et les deux lettres qu’elle contenait la firent pleurer de joie, et tant pis pour les moqueries d’Arthur.

 

« My darling girl,

 

Tu as dix ans aujourd’hui, joyeux anniversaire ma princesse !

 

Chaque jour te rend plus jolie, copie conforme de ta mère. Impossible de douter de ton hérédité en te contemplant, ma tendre fille. Pour l’heure, tu es encore mon enfant. Et ce jour de fête où je ne peux être à tes côtés, est un jour très spécial.

 

Tu fêtes ton dixième anniversaire, mon oisillon, et tu n’es plus tout à fait une enfant. Évidemment, tu resteras à jamais ma petite fille, mais à l’aube de ta onzième année commence un nouveau chemin qui te conduira à devenir une femme, la plus belle de tout le royaume, qu’un homme me ravira un jour. Ce jour-là,  ta beauté ne sera plus à mon unique bénéfice, et tu l’offriras à un Prince, un Baron ou un Comte.  Je prie pour ce jour n’arrive pas, ma chérie, et que tu restes à jamais avec moi, mais il serait injuste de te priver du bonheur que j’ai connu avec ta mère.

 

Ma chère petite fille, pour tes dix ans aujourd’hui, tu as le droit de savoir ce qui est arrivé à ta mère. Vivianne était la plus belle femme du royaume, qui avait commis l’erreur d’aimer. Tu comprendras un jour les conséquences de cette erreur, mais actuellement tu es trop jeune. On  m’avait mis en garde contre cette beauté. Mais subjugué, je l’ai aimée et elle m’a aimé en retour.

 

Mon précieux enfant, chaque jour qui passe me la rappelle à ma mémoire quand je te vois. Tout en toi rappelle ta défunte mère, de tes cheveux à ta peau d’albâtre en passant par ton maintien royal. Ma merveilleuse fille, tu es son portrait vivant, et je t’aime chaque jour un peu plus pour cela.

 

Ma chère enfant, il faut que tu saches que quoiqu’en dise les racontars, tu n’es pas responsable de la mort de ta mère. Tu es née là où tu te trouves actuellement, à Camelot. Durant les premiers mois de sa grossesse, ta mère rayonnait et illuminait le château de sa seule présence. Même Dame Igraine, Reine de la Cour, alors enceinte de l’héritier, ne parvenait pas à éclipser sa lumière. Mais l’hiver est arrivé, et avec lui le froid, et la mort de Dame Igraine lors de la naissance d’Arthur. Vivianne et Dame Igraine étaient très liées, et sa mort assombrit ta mère. Seule ta future naissance la réjouissait encore. Malheureusement, son chagrin et son deuil la conduisirent à attraper une maladie pendant l’hiver.

 

Tu étais son rayon de soleil, ma Morgane, et elle t’espérait blonde comme moi. Elle a lutté pendant six mois pour te donner le jour. Au moment où le soleil atteignit le point culminant de sa course, et tu as crié pour la première fois, et l’inquiétude de nos cœurs s’est muée en joie. Ta mère était ravie de donner naissance à une autre  fille.

 

Ta mère et moi avons exulté  pendant un mois entier tandis que tu grandissais et nous ravissais chaque instant un peu plus. Ma douce fille, ne te blâme pas pour la suite, tu n’y es pour rien. La maladie avait creusé son nid en ta mère. Même Gaius, médecin de la Cour n’a rien pu faire pour la sauver. Tu étais devenue plus vigoureuse  et nous projetions de retourner vivre chez nous, au lieu de rester au château de Camelot. Mais les évènements se sont précipités. Uther a souhaité de moi que je parte sur les fronts du Nord, et il est mon Roi. Je n’ai pu refuser. Ta mère est retombée malade lorsque j’étais absent.

 

Et aujourd’hui, je suis absent pour le premier jour du reste de ta vie, ma Morgane. J’en suis navré, ma chérie, mais un homme a des obligations. Envers sa femme, sa famille, mais aussi son pays. Mon pays, c’est Uther, je dois lui obéir.

 

Mais je te fais la promesse qu’il s’agira du dernier anniversaire que nous passerons éloignés l’un de l’autre. J’entends me retirer de la vie militaire dès la fin de cette campagne, afin de m’occuper de toi avant que tu ne m’échappes au profit d’un jeune garçon. Car tu grandis, mon cher ange. Tu es le fruit de ma jeunesse et cet anniversaire est la preuve que ma jeunesse s’évapore. Je dois me concentrer sur toi désormais. Dans la boîte, tu trouveras les bijoux favoris de ta mère, ainsi que le peigne qu’elle portait lorsqu’elle t’attendait. La deuxième enveloppe contient les derniers mots que ta mère t’a laissés avant de s’éteindre : ‘Je t’aime, ma fille adorée’. 

 

Gorlois de Tintagel »

 


Lettre 5: >>> Salamandre

A toi mon cher Arthur…

 

Depuis que je t’ai vu

Au perron du château

Dieu sait que tu m’as plu

Car je t’ai trouvé beau.

 

Ta si fière prestance,

Ton regard bleu azur

Te donnaient l’élégance

D’un roi de bon augure

 

Mon cœur est amoureux

Mais je dois bien pourtant

Me détourner les yeux

De toi pour très longtemps.

 

L’amour que je te porte

N’a pas touché ton cœur.

Tu as fermé la porte

A mon tendre bonheur.

 

Puisque tu aimes une autre,

Je me résigne enfin,

Je ne souhaite rien d’autre

Que ton heureux destin.

Mon impossible amour,

Devenons des amis

Fidèles pour toujours

En paix, en harmonie.

 

Je t’offre ce poème

Comme un dernier présent,

Des mots un peu bohèmes

Pour t’oublier vraiment.

 

Regarde cet amour,

Je le pose à présent

Comme un tout nouveau jour

Sur le souffle du vent.

 

Que les oiseaux du ciel

A travers les saisons

L’emmène à tire d’ailes

Vers d’autres horizons.

 

Ainsi je t’oublierai

Mon valeureux Arthur,

Et puis je trouverai

Un roi à ta mesure…

 

Ton amie Mithian

Princesse de Nemeth

 

Lettre 6: >>> Colinou

 

Très chère Guenièvre,

 

 

 

        Je me souviens encore du jour où tu es arrivée à Camelot : tu es venue avec ton père et ton frère Elyan. A cet époque je n'avais que quinze ans, et toi quatorze. Je voyais en toi une personne insouciante et comme tout le monde. Moi même, je ne prêtais pas attention aux gens, j'étais trop occupé à manier mon épée. Mais tu es devenue la servante de Morgane, je te voyais donc plus souvent. Petit à petit, j'ai commencé à te remarquer : tu étais belle, douce et gentille. Je ne savais pas ce qu'il se passait : je n'avais que quinze ans ! J'ai donc continué mon travail. Mais plus le temps passait et plus je me rendais compte que je « tenais » à toi : je voulais essayer de devenir ton ami. Malheureusement, un noble, qui plus est un Prince, ne peut pas être ami avec un roturier. Il ne peut même pas le fréquenter. J'ai donc voulu t'oublier, voir même ne plus te voir, j'ai passé plus de temps à l'entraînement, j'ai évité les quartiers de Morgane. Mais rien à faire : tu restais dans mon esprit, tu en occupait toute la place.

 

        Au fur et à mesure du temps, nous nous sommes rapprochés. Je me rends compte que c'est depuis que Merlin est arrivé. Je ne te remercierai jamais assez d'avoir accepté de m'accueillir chez toi lorsque j'ai participé à une joute incognito ! J'ai été injuste avec toi, je me suis comporté comme je le fais toujours : comme un petit tyran. Mais tu as commencé à me faire des reproches, et j'ai commencé à prendre conscience de mon attitude. J'ai essayé de faire des efforts, mais ce n'était pas gagné.

 

        Plus récemment, j'ai fait encore plus d'efforts que d'habitude, car être loin de toi me brise le c?ur. J'ai pris soin de toi lorsque tu t'es endormie comme tout le reste du château, lors de l'attaque de Morgause, et j'ai senti que petit à petit notre complicité s'est renforcée. Lorsque j'ai été transformé en âne par le gobelin, tu m'as compris sans problème. Sans toi, je ne sais pas ce que je serais devenu. Je serais probablement encore un âne à l'heure qu'il est ! J'ai aidé ton frère alors que tu ne voulais pas m'impliquer. Je voulais te prouver à quel point je tiens à toi. Ensuite, les choses ont failli mal tourner. Le fait de te voir arrêtée sur ordre du Roi par ma faute m'a brisé le c?ur : c'était moi qui avais organisé notre rendez-vous galant, moi qui t'avais poussée à accepter ! Tout était de ma faute ! Mon père t'a accusé d'être une sorcière, alors que tu n'avais rien fait ! Il a cru que j'étais ensorcelé ! Si le vrai coupable ne s'était pas montré, tu serais morte à l'heure qu'il est, et moi je serais l'homme le plus triste du monde ! Heureusement, tu as été sauvée. Après, les choses ont pu poursuivre leur cours : tu m'as aidé, je t'ai aidée, plusieurs fois.

 

        Et puis Lancelot est revenu. Je ne comprends pas, Guenièvre : pourquoi ? Pourquoi avoir été le voir ? Pourquoi m'avoir ainsi blessé alors que nous allions nous marier ? Pourquoi ? Je ne t'en aurais jamais pensé capable !

 

        Heureusement – malheureusement pour certains-, l'attachement de Tristan à Iseult nous a permis d'ouvrir les yeux. Enfin, m'a permis d'ouvrir les yeux. J'ai pris conscience de mon attachement pour toi, de combien j'avais besoin de toi. Je t'ai raconté que ce qu'il s'était passé chez Hunith, la mère de Merlin, c'était juste un coup de tête, mais ce n'est pas vrai. Je voulais garder mon honneur, déjà que je ne méritais plus d'être Roi, si en plus je me faisais voir avec une femme lâcheuse ! C'est ce que je pensais à l'époque. Mais depuis, mes idées se sont remises en place, grâce à toi, à Merlin et à Tristan et Iseult. Guenièvre, je regrette de t'avoir bannie. Je ne te dirai jamais assez à quel point.

 

        Je veux me faire pardonner. Je veux qu'on reprenne notre relation là où, pour moi, elle s'est arrêtée : lorsque je t'ai demandé de m'épouser. Me feras-tu l'honneur d'accepter ? Je comprendrais si tu ne veux pas. Mais sache que, si tu acceptes, je ferai tout pour que quelque chose comme ça ne se reproduisent pas. Je tiens à ce que tu saches que je t'ai aimé, je t'aime et je t'aimerai toujours, quoiqu'il arrive.

 

 

 

Celui qui pense tout le temps à toi,

 

Arthur.

 

 

Lettre 7: FINALISTE >>> Sabricotte

 

Mon Cher fils, 
Jamais je n’aurais espéré dire cela un jour, mon fils. Si tu lis cette lettre, c’est que je ne suis plus là, je l’ai écrite quand je t’ai connu, et je l’ai faite porter à ta mère pour que tu saches que tu es la plus belle chose qui me soit arrivé sur terre. 
Avant de te rencontrer, j’avais mis de côté toute idée d’avoir un jour une famille. Que dis-je, j’avais ôté de mon esprit tout espoir de revoir un jour un être humain, car je devais me cacher. Me cacher de celui dont tu protèges le fils au péril de ta vie. Quelle ironie! Nous aurions pu être heureux car ma vie était tellement belle auprès de ta mère, une femme d’une gentillesse extraordinaire, et en même temps d’un caractère et d’une force à toute épreuve quand il s’agit de défendre les idéaux en lesquels elle croit. Un peu comme toi Merlin. 
Mais voilà, à cause de ce que je suis, j’ai dû fuir cette vie, qui me remplissait de bonheur. J’ai dû fuir, sans même savoir qu’elle portait notre enfant. Et elle t’a élevé seule, avec tout ce que cela implique d’être mère célibataire, et en plus d’être la mère d’un garçon aux pouvoirs extraordinaires, hérités de son père. J’aurais pu aussi découvrir cela avec toi, t’apprendre et te guider dans tes premiers pas de sorcier. Cela aussi m’a été enlevé à tout jamais. 
Je voulais te dire combien je regrette de ne pas avoir été là avec toi, de ne pas t’avoir assez connu, assez aimé et choyé comme tu le mérites. Car tu es quelqu’un d’exceptionnel Merlin, d’une gentillesse et d’une bonté remarquable, loyal et franc, et voir combien tu crois en ce monde dont tous les magiciens vivants ou morts parlent me remplit de bonté et de fierté. 
Sache que, même si je ne t’ai vu que très peu de temps, j’en ai vu assez pour te dire combien je t’aime et combien je suis fier de l’homme que tu es devenu, du magicien que tu seras, et de ce que tu as su affronter jusque maintenant. Arthur a de la chance d’être tombé sur toi, et il se rendra compte plus tard de tout ce que tu as fait pour lui, et j’espère qu’il rendra à la magie ce que son père lui a pris. 
Je serai toujours à tes côtés pour te guider, n’oublie jamais d’où tu viens et les personnes qui t’aiment très fort. Penses-y quand tu auras des doutes sur tes pouvoirs, sur quelle direction tu dois prendre, n’oublie jamais que l’amour, la loyauté et la foi sont les piliers de tout. 
N’oublie jamais. 
Je t’aime mon fils.

 

Balinor

 

 

Lettre 8: FINALISTE >>>abeilledic

 

Ma dame,

 

 

 

Vous me manquez. Il est triste pour moi de savoir que je ne pourrais vous donner cette lettre avant un moment. Cela fait quelques jours déjà que vous avez disparu, enlevée par cette sorcière, Morgause. Pourtant ce n'est que maintenant que je peux me laisser aller à y penser.

 

 

 

Vous l'ignorez sûrement mais quelques heures seulement après votre disparition, le dragon séquestré sous le château s'est échappé. Oui, c'est inimaginable. Nous étions toutes deux persuadée qu'il s'agissait d'une histoire inventée de toute pièce par Uther pour se glorifier et pourtant, il y avait bien un dragon. Un dragon qui nous as attaqué, aussitôt qu'il a été libéré.

 

 

 

Il était impressionnant, je pense que vous auriez adoré le voir, connaissant la fascination qu'il exerçait sur vous quand vous étiez plus jeune. Pourtant, bien que je reconnaisse avoir été époustouflée en le voyant la première fois, ce sentiment s'est bien vite changé en terreur. Je n'ai jamais été aussi courageuse que vous, bien que je ne manque pas de force quand il le faut, mais sans vous à mes côtés, je me suis sentie sans défense.

 

 

 

N'est-ce pas idiot de vous dire ça alors que vous êtes en si mauvaise posture ? Je me raccroche à tous ce que je sais de vous, à votre courage, votre détermination, votre intelligence, votre bonté et votre générosité. À ces si belles qualités qui vous permettront de vous en sortir.

 

 

 

Je ne sais pas trop ce que je pourrais faire pour vous aider, à part prier et croire en vous. Je vous aime tant. Vous êtes ma meilleure amie, quoiqu'en puisse dire le roi. Je sais que vous éprouvez pour moi une aussi sincère amitié que celle que j'éprouve pour vous.

 

 

 

J'espère que penser à moi vous aide autant que penser à vous m'aide à attendre votre retour. N'oubliez jamais que ni moi, ni Arthur ni personne n'abandonnerons les recherches pour vous retrouver. Vous êtes plus que quiconque la lumière et la beauté de ce royaume.

 

 

 

Et voilà que je pleure, mais décidément vous me manquez tant.

 

 

 

Guenièvre

 

 Lettre 9: >>> choup37

 


A un ami très cher

        Ton arrivée a bouleversé ma vie. Tu lui as redonné un but, et fait redécouvrir le sens des mots 'joie' et 'espoir'. Gauvain... ton prénom m'évoque nos rires à la taverne et nos longues discussions au coin du feu le soir. Tu as su me percer à nu dès que tu m'as vu, comme personne excepté Lancelot n'avait su le faire ! Notre amitié a été aussi foudroyante qu'instantanée, aussi réelle que profonde : nous sommes rapidement devenus inséparables, comme deux frères de cœur que nous sommes. On nous voit rarement l'un sans l'autre, toujours en train de chercher le second, d'échanger des regards ou de pouffer comme des idiots pendant les séances de la Table ronde. Arthur s'en irrite, les autres lèvent les yeux au ciel, mais peu nous importe ! On s'amuse d'un rien, on se contente de peu, pas besoin de paroles entre nous pour communiquer ! C'est instantané.. magique.
        En ce jour qui est le tien, je voulais te remercier pour tout ce que tu m'as apporté ! Tu penseras certainement que j'exagère, mais tu ignores à quel point ta venue m'a aidé.. sauvé. Tu es toujours là pour me réconforter quand j'en ai besoin, toujours présent pour me laisser souffler sur ton épaule, avant de repartir à mes royales ou médicinales tâches. Ta présence allège le fardeau qui est le mien.. Que deviendrais-je sans toi ? Un imbécile de larbin toujours à courir après les fesses de notre chère tête de cuillère royale! Ma vie serait décidément bien moins drôle sans toi ! Je te vois déjà esquisser un sourire comme un idiot, en sentant tes chevilles et ta tête gonfler comme une vessie de porc trop pleine bientôt prête à exploser. Prend garde ! Tu me sais capable de te ramener aisément à la réalité, n'est-ce pas très cher sir Gauvain?

        Mais déjà j'entends Arthur hurler dans le couloir à ma recherche.. la journée promet d'être encore fantastique.. je te dirais bien « je t'embrasse » mais tu risques de me prendre au mot, alors comme je tiens au peu de réputation qui me reste, je préfère te dire « à tout de suite ! »

                                                                Ton indéfectible Merlin

 

Lettre 10: >>> Salamandre

 

 

Guenièvre,

 

Je t’écris ce message ma mie en espérant que mes mots toucheront ton cœur.

 

Je ne sais comment dire ni pourquoi mais le cœur a ses raisons et le mien s’est épris de toi, Guenièvre.

 

Pas un seul jour ne se lève sans que ton doux prénom soit gravé dans le ciel de mes pensées, pas un seul jour ne se couche sans que ton visage se rappelle à mon cœur.

 

Tu es pour moi la fleur colorée de l’amour, resplendissante sous le soleil de Camelot et j’aimerais cueillir ta beauté pour la garder près de moi.

 

Tu es pour moi le parfum de la rose et j’aimerais te respirer toute ma vie.

 

Tu es pour moi la rosée du matin, l’eau de la rivière qui rafraîchit de ses milliers de gouttes transparentes et j’aimerais m’abreuver de cette eau pour toujours.

 

Si tu veux devenir mienne, je t’offrirai des jours doux et sucrés comme des fruits. Tu seras la reine de mon château, la plus belle fleur de mon jardin. Je te couvrirai de baisers et ferai belles tes nuits. Afin que tu sois heureuse, je serai ton fidèle chevalier et je me battrai pour toi.

 

Ensemble, nous construirons une famille et nos enfants empliront notre demeure du grand bonheur.

 

Je veux voir un sourire accroché à tes lèvres, je veux voir la tendresse déborder de tes yeux, je veux  entendre ton rire s’évader de ta gorge, je veux vivre avec toi…

 

Guenièvre, s’il te plaît, donne-moi le signe de ton amour en retour. Réponds-moi je t’en prie. Si ton cœur est libre et si toi aussi tu m’aimes, écris  ta réponse et glisse ton billet sous la porte de ma chambre.

 

Je dépose un doux baiser sur cette lettre comme sur ta main et je t’attends.

 

 

 

Ton servant chevalier Lancelot

Lettre 11: FINALISTE>>> Dede85

 

Seigneur Perceval,

 

Si je vous écris ce jour, c’est pour vous remercier de tout cœur pour votre acte de bravoure envers les miens il y a de ça quelques années.

Vous souvenez vous ? Probablement pas. Un fidèle et courageux chevalier de Camelot tel que vous doit sauver des vies de pauvres gens tous les jours, sans se rendre compte de l’immense gratitude que l’on ressent envers vous. C’est pour cela que je vous écris.

 

Cette nuit là, les démons s’étaient emparés de Camelot, erraient à une vitesse effrayante dans le but de capturer les âmes les plus innocentes. Nous n’en dormions plus la nuit. Et puis un soir en rentrant avec hâte à la maison, nous avons égaré les enfants. Mes trois chers petits. Effrayés par ses fantômes et leurs cris assourdissants. J’étais paniquée. Mes enfants dehors, peut-être déjà emportés par les esprits. J’étais prête à ressortir pour aller à leur recherche. Et vous êtes apparus, avec le Seigneur Elyan, portant mes enfants dans vos bras ! Quelle fut ma joie ! Quel soulagement !

 

A partir de ce jour, les chevaliers de Camelot ont une place toute particulière dans mon cœur. Et je puis vous assurer que mes enfants ressentent également une grande admiration pour vous depuis lors. C’est bien simple, depuis votre rencontre, ils me demandèrent de leur conter des histoires de chevaliers héroïques et de magie. Des histoires où le bien triomphe, où le Seigneur Perceval est un héros magistral. Alors je faisais de mon mieux et imaginais des aventures lors desquelles vous et vos soldats combattiez Morgane, où vous accomplissiez des quêtes légendaires, où le Seigneur Elyan, Gauvain, Léon, Lancelot, et vous-même protégiez notre cité, notre Roi et notre Reine si bien aimés.

 

Les enfants ont grandi maintenant. Mes deux fils veulent devenir chevaliers, comme vous. Ma fille souhaiterait en épouser un. Le temps nous le fera savoir bien assez tôt. Mais je suis sûre qu’un jour, ils raconteront cette histoire à leurs propres enfants. Ce sera notre manière à nous de vous remercier. Nous ne sommes pas assez forts pour sauver votre vie comme vous avez sauvé les nôtres, mais nous pouvons faire que votre histoire soit à jamais connue, de tous les temps et dans toutes les contrées de ce pays, et ainsi rendre hommage à votre courage, le vôtre et celui de tous les chevaliers, serviteurs de Camelot et de notre bon Roi Arthur.

 

Un dernier mot pour vous remercier encore et toujours. Vous resterez à jamais dans nos cœurs.

Une maman de Camelot.

PS : les enfants vous embrassent. 

 

Lettre 12: FINALISTE >>> Sabricotte

 

 

Mon cher Gaius, 
Quand je suis arrivé à Camelot, c’était dans l’espoir de trouver des réponses à mes questions : pourquoi les habitants d’Ealdor ne m’aiment pas ? Pourquoi mes pouvoirs font peur ? Dans quel but m’a-t-on donné ces pouvoirs ? 
Mais j’ai trouvé plus que ça. En arrivant à Camelot, j’ai trouvé un confident, quelqu’un qui me comprend, un guide, un père. J’ai trouvé un sens à ma vie, à mes pouvoirs. Vous m’avez aidé à me sentir quelqu’un, moi qui me suis toujours considéré comme un idiot, vous m’avez toujours considéré comme un héros. Vous m’avez guidé sur la bonne voie, d’autre n’ont pas eu cette chance. Vous m’avez aimé comme votre propre fils, protégé au péril de votre vie, car vous avez foi en moi et au monde que j’étais censé bâtir avec Arthur. Arthur… mon destin, il m’a rendu meilleur comme moi je l’ai rendu meilleur, nous avons en quelque sorte mûri ensemble. Je n’oublierai jamais toutes ces années à supporter ses sarcasmes, comme lui a dû endurer les miens. Mais ce que je croyais réciproque ne l’était pas en fin de compte. J’ai accompli une partie de mon destin en conduisant Arthur jusqu’au trône de Camelot, au péril de ma vie, j’ai accompli ma plus belle tâche : celui de protéger et de servir le plus grand roi que cette terre aura connu. Je l’ai toujours considéré comme un ami, bien avant de le considérer comme un prince, puis un roi. 
Mais j’ai failli à ma tâche ultime. La magie n’a pas sa place à Camelot, Arthur a rejeté la magie, et de ce fait m’a rejeté moi, et j’ai le cœur brisé. Je suis triste d’avoir perdu mon seul ami, ma destinée, ma foi, et triste de devoir quitter cette vie avec vous tous, car je ne peux vivre dans un monde où je n’ai pas ma place. Arthur ne veut plus de moi, il m’a renvoyé comme Uther m’aurait exécuté, et croyez-moi, cela fait encore plus de mal de vivre ainsi que de mourir sur le bûcher. 
C’est pour cela que je ne reviendrai pas à Camelot, je ne le peux pas. Je vous dis adieu, je retournerai à mes racines, auprès de ma mère quand tout cela se sera calmé, en attendant je vais vivre comme un reclus, comme l’a fait mon père avant moi. Mais je n’en tiens aucune rigueur à Arthur, il comprendra un jour tout ce que j’ai fait pour lui pour qu’il devienne ce qu’il est aujourd’hui : pas seulement un roi, mais une personne sûre de lui, fière et juste. 
Adieu mon cher ami, prenez soin de Guenièvre, de Arthur et de Camelot, et gardez en mémoire tous nos bons moments. 
Je vous aime tous. 
Adieu.

 

Lettre 13:>>> ReMerlin

 

Chère Maman

 

Comme promis je te donne de mes nouvelles.

 

Tout se passe bien pour moi à Camelot,les gens me traitent bien,je me fais des amis comme Gwen la servante de Dame Morgane qui est mon ami également. Arthur est aussi mon ami même si je pense que c'est un crétin royale.

 

Je te rassure que peu de personne connaisse mon secret, il n'y a que Gaius, Kilgarrah un dragon et Lancelot, c'est un homme brave qui veut devenir chevalier de Camelot.

 

Kilgarrah me promet à un grand destin, celui de protéger Arthur pour qu'il devienne le plus grand Roi que Camelot n'a jamais vu et pour qu'il unifie tous les royaumes et ainsi crée la terre d'Albion.

 

Je ne te remercierai jamais assez pour tout ce que que tu as fait pour moi. Grâce à toi j'ai compris que j'avais une grande importance dans ce monde, que mon destin est d'être le plus grand sorcier de tous les temps.

 

Je t'embrasse

 

MERLIN

 

 

 


A vos votes pour la finale!

Ecrit par annechou 
Activité récente
Actualités
Colin Morgan sur le tournage de Dead And Buried

Colin Morgan sur le tournage de Dead And Buried
Quelques images, prises le  7 mars 2024 sur le tournage de Dead and Buried avec Colin Morgan dans le...

Nouveau sondage : Merlin a besoin de vous

Nouveau sondage : Merlin a besoin de vous
Le dernier sondage vous demandait : "2012-2022 : 10 ans ! 10 ans se sont écoulés depuis l'annonce de...

Colin Morgan : Les

Colin Morgan : Les "Chronicles of Armagh"
Le 09 février 2024 le site  Irish News co-Armagh  a annoncé une nouvelle série documentaire de la...

Dead and Buried : une nouvelle mini-série pour Colin Morgan

Dead and Buried : une nouvelle mini-série pour Colin Morgan
Ce matin 22 janvier 2024, la chaîne de télévision BBC a annoncé dans un communiqué de presse : "...

Anniversaire  Colin Morgan

Anniversaire Colin Morgan
Le 1er Janvier ... c'était le premier jour de l'année, mais c'était aussi l'anniversaire de Colin...

Newsletter

Les nouveautés des séries et de notre site une fois par mois dans ta boîte mail ?

Inscris-toi maintenant

Sondage

En attendant le réveil d'Arthur, Merlin a décidé de protéger d'autres têtes couronnées. Par laquelle doit-il commencer?

Total : 11 votes
Tous les sondages

HypnoRooms

chrismaz66, 24.03.2024 à 17:40

Bonsoir, nouvelle PDM/Survivor Illustré chez Torchwood, dédié aux épisodes audios, venez voter, merci !

Locksley, 25.03.2024 à 20:10

Pas beaucoup de promo... Et si vous en profitiez pour commenter les news ou pour faire vivre les topics ? Bonne soirée sur la citadelle !

choup37, 26.03.2024 à 10:09

La bande-annonce de la nouvelle saison de Doctor Who est sortie! Nouvelle saison, nouveau docteur, nouvelle compagne, venez les découvrir

Sas1608, Avant-hier à 18:25

Pour les 20 ans de la série, le quartier de Desperate Housewives change de design ! Venez voir ça !

mnoandco, Hier à 19:49

Nouveau design sur Discovery of Witches, n'hésitez pas un faire un p'tit détour même sans connaître la série.

Viens chatter !